mardi 17 octobre 2017

Casalmaggiore

Au matin, un message de la Luna Residence Hotel, notre destination de la journée, nous informait que l’enregistrement devait se faire avant 12h30 ou après 16h30. Nous partons donc à 9h30 ce qui nous laisse 3h pour parcourir environ 250 km par autoroute. Amplement de temps, pensions-nous.

Comme souvent, la réalité a été tout autre. Nous avalons les kilomètres, autoroute après autoroute, entre 110 et 130 km/h. Arrivée prévue : 12h. Donc, à temps pour notre rendez-vous.

Mais voilà, à quelque 20 kilomètres de notre lieu de rencontre, une route fermée, en pleine campagne, nous oblige à faire un détour de 50 kilomètres sans indication à savoir quelle direction prendre. On ne peut compter sur Gère-Mène qui veut toujours nous ramener là où la route était fermée. On roule un peu au hasard. Le temps passe. Impossible d’arriver à temps.

On va manquer d’essence en pleine campagne rase. Gisèle aimerait impérativement trouver un petit coin pour libérer un surplus de stress. Le temps presse.

Gigi réussit à rejoindre Michele à la réception de l’hôtel qui accepte gentiment de demeurer en poste jusqu’à notre arrivée. On croise une station d’essence, ce qui fait l’affaire de la Renault … et de Gisèle. On arrive enfin.

Le réceptioniste est à son poste et nous accueille chaleureusement. Il ne devait que nous remettre les clés de la résidence de Sabbioneta mais il nous propose de demeurer à Casalmaggiore pour le même prix et plus d’espace. Marché conclu. De plus, il nous réserve une table à la Trattoria Tratto Bene. Mets régionaux, produits locaux : un repas remarquable peut-être le meilleur depuis notre notre arrivée en Italie et…un vin extraordinaire. Repus, on rentre à notre appartement et on s’endort jusqu’à 17 h.


Bin coudon, c’est une petite anecdote insignifiante qui ne méritait pas un texte aussi long mais qui a bien fini ! Comme toujours.

PS : Photos ajoutées à la chronique d'hier