Grasse matinée. Très grasse
même. Mais ça remet du pep dans le soulier. Petit déjeuner, petit dîner, on
refait les valises, on débranche les nombreux chargeurs et, à 13h30, à 24 h du
départ, on procède à l’enregistrement du vol. Un imprimeur, au coin de la rue,
imprime une copie-papier de la carte d’embarquement. On est presque prêts à
partir !
Comme il devait être beau à l'origine, tout recouvert de marbre blanc |
En sortant du temple visité par
des centaines de touristes à la minute, un chanteur d’opéra s’exécutait au
centre de le Piazza, entouré de nombreux spectateurs. Agréable intermède. Puis,
Gisèle nous entraîne
sur la Piazza della Maddalena à la Gelateria San Crispino reputée servir des
glaces de haute qualité, peut-être les meilleures d’Italie. Glace aux
noisettes, glace au citron et glace aux pistaches ont fait honneur à la
réputation de l’établissement.
Et c’est à regret qu’on prend le chemin du retour. Avant
d’entrer, on réserve 2 places, pour 20h, au restaurant voisin de l’appartement.
Voilà qui met un terme à cette belle aventure. C’est
sûrement le dernier voyage dans ce format d’itinérance. Nos 150 ans combinés
nous disent qu’il vaudrait mieux passer à autre chose car nos réserves
énergitiques s’épuisent plus facilement et plus rapidement qu’avant. On ne
renonce pas aux voyages, loin de là, mais on se déplacera moins, moins en auto
probablement. On verra dans le temps comme dans le temps, comme le disait un
célèbre personnage d’un de nos téléromans québécois.
Demain matin, Igor descendra nos valises et la limo à 150
km/h nous conduira à l’aéroport Leonardo da Vinci à Fiumicino en banlieue de
Rome. Vol prévu à 13h15. Arrivée prévue à PET à 16h30. Vol d’une durée d’un peu
plus de 9h. On ne sera pas beaucoup jasant.
Dernière publication à prévoir demain au retour à la maison.