samedi 14 octobre 2017

Fiesole, Prato, Pistoia

Fiesole, Prato, Pistoia
Nous avons quitté La Tenuta Larniano et notre hôte Duccio, à 10 h. Nous avons franchi sans regret les 2,5 kilomètres de route de terre poussiéreuse avant d'atteindre la route asphaltée qui nous a conduits à Sienne. Un lave-auto hyper-performant a remis à la belle Française sa propreté originale. Voilà la plus belle partie de notre journée !

Première destination, Fiesole. Gisèle avait découvert une petite route de montagne offrant des paysages fantastiques qui nous emmenerait à notre destination finale, Pistoia. On ne l’a jamais trouvée car notre bonne Gère-Mène n’était jamais venue dans la région. Une calamité ce GPS ! On décide de se rendre au bureau de l’information touristique de Fiesole. On ne s’y est jamais rendu car la seule place de stationnement que nous avons trouvée était trop courte, seule la moitié de l’auto y trouvait place. En passant par des détours inimaginables, merci G-M, on finit par s’extirper de cette petite ville et mettons le cap sur Prato.

On arrive à peu près où l’on voulait aller mais encore, stationnement difficile à trouver. On ferme la trappe de Gère-Mène qui ne cesse de répéter : Faites demi-tour, calcul en cours, recherche d’un nouvel itinéraire. Tais-toi ! On tourne le GPS à OFF et je tourne à droite. Erreur fatale ! Je viens de m’engager sur une voie interdite aux autos et réservée uniquement aux autobus. Je fais marche arrière à peine quelques mètres et BANG ! un autobus vient me frapper à l’arrière. Je fais un demi-tour interdit. On constate qu’il y a moins qu’une égratignure sur le pare-choc et on repart. Le chauffeur d’autobus fait de même. Et on trouve une place de stationnement. Recherche de la borne pour paiement, on met le ticket dans l’auto et on constate que la samedi …c’est gratuit.

On entre dans la vieille ville et on se rend au duomo où Gisèle voulait absolument voir de remarquables fresques de Filippo Lippi. Elle ne les a pas vues. Il était 16h35 et on ne vendait plus de droits d’entrée 30 minutes avant la fermeture à 17 h. Décidément, ce n’est pas notre journée.

On met le cap sur notre gîte des 3 prochaines nuits à Pistoia. Indication nébuleuse du GPS, on emprunte la mauvaise autoroute. Retour de mauvaise humeur. Puis on se dit, Bof ! on est en vacances, c’est pas grave. À Pistoia, notre appartement est situé en retrait de la ville. Ça, on le savait. Par contre, on ne savait pas que pour atteindre cette Podere Delle Fanciulle, il fallait emprunter une route si étroite qu’il serait impossible de rencontrer une voiture venant en sens inverse. Klaxonnez, que nous a dit le proprio, parce que parfois, ça roule vite !

Nous sommes entrés dans notre bel appartement moderne terriblement déçus de cette journée.

Eh, Signore, C'est frisquet ici, comment on contrôle le chauffage ? Malheureusement, la Commune ne nous a pas encore autorisés à utiliser du chauffage dans nos maisons ! Bin coudon !

2 commentaires:

  1. Ouf quelle journée. Je vous trouve bien courageux ! En vacances mais courageux quand même.

    Le stationnement semble une première préoccupation du matin...ensuite hop on s’amuse (pas aujourd’hui mais les autres jours )

    Je vous souhaite un dimanche plus Jojo

    Encore merci ! 🍀🍀🍀

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  2. Toute une journée pour vous deux, mais Pierre trouve toujours le moyen de phraser les évènements d'une façon humouristique qui nous dit que les vacances c'est toujours des épreuves à surmonter et on en rit par la suite....
    Ce serait bien que les gens sur place s'occupe du chauffage, ce n'est pas le temps d'attraper une petit gripette. Bon dimanche!

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